27 mars 2025

Burkina Faso : Appel à une manifestation générale pour dénoncer les accusations incessantes de l’ONU contre les FDS et les VDP.

Depuis la publication d’un supposé rapport de Human Rights Watch sur les éventuelles exactions qu’auraient commises les FDS et les VDP sur la population civile, un rapport écrire sur un fait stratosphérique qui n’a rien à voir avec la réalité, l’ONU en a fait une récupération pour mettre un semblant de pression sur les autorités Burkinabè, ceci en toute irresponsabilité.

Aujourd’hui, tout porte à croire que c’est l’ONU qui serait derrière ce rapport fantaisiste, fabriqué de toutes pièces et de mauvaises qualités d’ailleurs, et que seulement le brin de crédibilité qui reste à Human Rights Watch est juste mis à contribution pour donner un certain aspect à la chose. La façon dont l’ONU s’acharne contre les autorités de la transition Burkinabè, beaucoup de pays dans lesquels le chaos règne pour des raisons politiques sont aussi passés par là. Étant donné qu’un chien ne change jamais sa manière de s’asseoir, les occidentaux essaient de reproduire le même schéma qui a fait ses preuves ailleurs, au Burkina Faso.

Pour qu’un tel scénario ne se réalise pas au pays des hommes intègres, le peuple est appel une manifestation gigantesque ce vendredi 7 juin 2024 pour dénoncer avec dernière rigueur les intimidations de l’ONU envers  les autorités Burkinabè en les accusant des faits qui relèvent d’une simple imagination d’une ONG qui se trompe de cible dans ses grands moments de délires.

Le peuple doit à travers cette mobilisation montrer son soutien sans faille aux FDS et aux VDP qui au prix de leur vie, défendent le territoire contre les terroristes et leurs patrons impérialistes. C’est l’occasion pour les Burkinabè de réclamer avec véhémence leur souveraineté et de dire à l’ONU qu’ils ont compris ce qui se tramait, et que dans tous les cas, ça ne passera pas.

Sur ce, le peuple doit marteler sur le retrait immédiat du Burkina Faso de la CPI, qui aujourd’hui devient une épée de Damoclès sur la tête des dirigeants africains. Le peuple Burkinabè doit faire de ce message un sujet phare lors de ce meeting de vendredi pour montrer à l’ONU et ses criques, que leur souveraineté ne fera pas l’objet de négociation ni aujourd’hui ni demain.

Amen K.

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