par Le gouvernement burkinabè, sous la houlette du Président Ibrahim Traoré, vient de franchir une nouvelle étape dans la promotion de l’économie nationale en adoptant un décret portant institution de quotas d’enlèvement à l’importation des produits similaires fabriqués ou produits au niveau national. Cette décision illustre une volonté affirmée de renforcer l’autosuffisance du pays et de stimuler la transformation industrielle locale.
En limitant les importations de produits que le Burkina Faso peut produire localement, le gouvernement envoie un signal fort en faveur de la production nationale. Cette mesure, qui s’inscrit dans la vision du Président Traoré, vise à encourager les industries locales à augmenter leur production et à valoriser les matières premières du pays. Il s’agit d’une politique qui non seulement protège les entreprises locales, mais qui incite également à l’innovation et à l’amélioration des standards de qualité pour répondre aux besoins du marché intérieur.
Cette initiative est d’autant plus cruciale que le Burkina Faso, comme de nombreux pays africains, est souvent dépendant des importations pour satisfaire sa demande intérieure. En favorisant la production locale, le gouvernement vise non seulement à réduire cette dépendance, mais aussi à créer des emplois, à dynamiser l’économie et à assurer une meilleure redistribution des richesses au sein du pays.
L’adoption de ce décret pourrait marquer le début d’une nouvelle ère pour l’industrie burkinabè, où la transformation locale des produits agricoles et autres matières premières devient une priorité. Il est à espérer que cette politique soit accompagnée de mesures d’accompagnement, telles que des incitations fiscales, des facilités d’accès au crédit et une amélioration des infrastructures, pour que les industries locales puissent véritablement tirer parti de cette opportunité.
Cette décision du gouvernement burkinabè de prioriser la production nationale démontre une vision claire et une volonté de mettre en avant le potentiel du Burkina Faso pour assurer un développement durable et inclusif.
Amen K.
