par En commençant par la politique, c’est-à-dire la gestion de l’appareil étatique, le Président Ibrahim Traoré a renversé les pratiques abjectes qui ont cours pendant des années et ont transformé le Burkina Faso en un centre d’expérimentation des délires impérialistes. En coupant le pont avec certains partenariats toxiques, le peuple Burkinabè a retrouvé sa dignité et sa fierté malgré les défis sécuritaires qui s’imposent à lui.
Sur le plan sécuritaire, le MPSR a beaucoup investi dans l’acquisition des équipements militaires et dans la formation des forces armées et des services de sécurité pour mieux faire face aux menaces terroristes. Aujourd’hui, grâce à ces investissements et grâce à la détermination des FDS et des VDP incarnés par le leadership du Président Traoré, les populations regagnent les zones abandonnées sous les menaces des terroristes. Si le Burkina Faso arrive à contenir le saut d’humeur des terroristes manipulés par les puissances occidentales, le mérite revient au MPSR.
Abordant le secteur économique, sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso est devenu la quatrième économie de la zone CFA en 2024, conséquence des réformes opérées dans plusieurs secteurs de l’économie du pays. Les initiatives comme la construction de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso, la mise en place d’une industrie pour confection des tenues militaires histoire de mettre en valeur le coton Burkinabè, la construction d’une raffinerie d’or avec les réformes dans le Code minier, mettent aujourd’hui le pays des hommes intègres dans les rangs des pays dont leurs économies attisent la convoitise.
Touchant le volet de la diplomatie, le Burkina Faso a beaucoup rayonné en la matière, avec l’ex-ministre des Affaires Étrangère Mme Olivia Rouamba, à la manette. Le Burkina Faso a réussi à nouer de nouveaux partenariats avec des États comme la Russie, l’Iran et la Turquie après avoir coupé le pont avec la France et toutes les pourritures qui y vont avec. La création de l’Alliance des États du Sahel illustre un pan du travail acharné du Chef de l’État.
En matière de santé publique, le gouvernement a investi dans la construction et la rénovation des centres de santé, augmentant ainsi l’accès aux services de santé de qualité pour les populations rurales et urbaines. Tout récemment, le Président Ibrahim Traoré a remis au Ministère de la Santé, un premier lot composé 15 unités mobiles de soins équipées (cliniques mobiles) destinées aux établissements publics de santé et un second lot 12 véhicules station wagon, 11 véhicules Pick-up, 13 véhicules Pick-up réfrigérés, 1900 réfrigérateurs assortis de kits solaires, 110 congélateurs électriques, 14 groupes électrogènes, 11 chambres froides et 835 tablettes. Avec les réformes mises en place, le cout des soins de santé est devenu abordable pour le citoyen lambda Burkinabè.
Parlant de l’administration de façon générale, certaines pratiques vicieuses érigées en règle notamment l’absentéisme, les mauvais accueils, les surfacturations, la gabegie et la corruption, le Président Ibrahim Traoré a su trouver un remède à ces vices avec la mise en place récemment de la Commission de régulation des dysfonctionnements (CRD).
Depuis son arrivée au pouvoir en 2022, le Président Ibrahim Traoré a entrepris des réformes et des initiatives significatives pour transformer le Burkina Faso. Ses actions sur les plans politique, sécuritaire, diplomatique, économique, sanitaire et administratif ont déjà commencé à porter leurs fruits, renforçant la stabilité, la prospérité et le bien-être du peuple burkinabè. Les résultats obtenus témoignent de son engagement à mener le pays vers un meilleur avenir.
Amen K.
