Le peuple burkinabè sous le leadership du président Ibrahim Traoré, est en train d’écrire une nouvelle page de son histoire. Une histoire avec pour chapitres, la reconquête du territoire en boutant le terrorisme hors de ses frontières, la souveraineté, le développement économique en misant sur l’entrepreneuriat communautaire. L’entrepreneuriat communautaire, cette initiative présidentielle a pour objectif, la création de richesses pour le Burkina-Faso par les burkinabè.
Ce programme d’entrepreneuriat communautaire par actionnariat populaire pour le développement endogène du Faso, exécuté par l’APEC, prend davantage forme avec la pose de la pierre de la première usine le 23 septembre dernier à Bobo Dioulasso par le Chef de l’Etat. Cette première usine dont les travaux sont en cours, sera consacrée à la transformation des tomates. Retour sur ce 23 septembre, un jour qui a encore marqué l’engagement du président Traoré pour un Faso nouveau.
Dès son lancement, le programme a reçu l’adhésion massive des burkinabè de la diaspora et ceux de l’intérieur. Ainsi, quelques milliards ont été mobilisés à travers la souscription des burkinabè pour le démarrage des travaux de construction. L’usine de transformation de tomates devrait voir le jour, 6 mois après le début des travaux. Ce projet ambitieux à terme, devra rendre disponible sur le marché, une grande partie des besoins de consommation de la population afin, d’éviter la dépendance des importations. La capacité de production annuelle de l’usine grâce à la technologie qui y sera installée, est de 5 tonnes de pâte de tomate.
L’usine de transformation de tomates de Bobo Dioulasso, est la première d’une série d’usines qui seront implantées dans le cadre de ce programme. Avec le programme d’entrepreneuriat communautaire, le Burkina a osé inventer son avenir et a su jeté les bases d’un développement endogène.
Aïshu Sanou