Face à la décision illégale ne reposant sur aucun principe ni judiciaire ni moral de la CEDEAO à l’endroit du Niger, des voix des populations du pays du Président Bola Tinubu, se sont élevées contre la suggestion d’une intervention militaire de la CEDEAO au Niger. Ces voix, unies, ont résonné dans les rues, portant des messages de fraternité aux peuples nigériens.
Le rôle de la CEDEAO est scruté, avec des soupçons d’influence des alliés occidentaux. L’inquiétude n’était pas seulement centrée sur l’avenir du Niger, mais aussi sur l’impact régional d’une telle intervention. Le peuple africain ne veut plus d’une situation à la libyenne, c’est pour cela que les décisions de la CEDEAO n’ont pas reçu d’écho favorable.
Les dirigeants de la CEDEAO qui soutiennent l’intervention militaire de la CEDEAO, ignorent que le Niger héberge une partie de leur population. S’il advenait que l’intervention ait lieu, que vont devenir ces ressortissants de divers pays ? La CEDEAO sans mille réflexions, veut créer ainsi une guerre entre les pays frères.
Le parrain des terroristes, Mohamed Bazoum, va répondre de ses actes. Les nouvelles autorités du Niger ont à leur procession des preuves pour poursuivre devant les instances nationales et internationales compétentes le président déchu et ses complices locaux et étrangers, pour haute trahison et atteinte à la sûreté intérieure et extérieure du Niger.
Toutefois, les autorités du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, disposent visiblement d’un soutien populaire vu les rassemblements monstres en leur faveur.
Nasser Cissé