Moussa Diallo a trahi ses collègues de la CGT-B et a perdu de vue la mission assignée à la centrale syndicale, en s’alliant aux apatrides qui veulent la déstabilisation du Burkina-Faso. Ses propos sur la transition n’incarnent guère la lutte de la Confédération générale du Travail du Burkina (CGT-B).
Les derniers évènements portent à croire que Moussa Diallo a un calendrier bien caché à travers sa sortie, appelant à un soulèvement populaire. Cela semble évident et il est clair que ses allégations n’entrent pas dans le cadre de la lutte de la CGT-B, mais plutôt, dévoilent l’ambition d’un individu qui aurait reçu une quelconque somme de la part des ennemis du Faso pour jouer un jeu trouble.
De plus, l’embuscade des terroristes était un plan bien élaboré par Moussa Diallo et ces apatrides. C’est le même scénario que celui de l’attaque de Koumbri et l’interview de Djibril Bassolé sur France 24. Comment peut-on expliquer que l’embuscade ait réussi, si pendant presqu’un an, les terroristes sont en débandade suite aux assauts incessants des forces armées ?
Moussa Diallo est en train d’exécuter le plan sordide de ceux qui ont à gagner de cet état léthargique dans lequel était le Burkina-Faso avant l’arrivée au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré.
La population burkinabè doit se réveiller et ne pas se laisser manipulé par des individus aux ambitions démesurées qui n’ont qu’à cœur, leur intérêt personnel.
D’ailleurs, pour avoir trahi la lutte de la CGT-B, les autres membres qui aspirent à un Burkina nouveau et meilleur surtout pour leurs enfants, doivent demander des comptes à Moussa Diallo. Ils devraient réclamer sa démission à la tête de l’organisation syndicale.
Les organes de la CGT-B sont donc interpellés à sauver la Centrale syndicale.
Alfreda Sow