16 octobre 2024

Burkina Faso : Conspiration des Bassolet contre l’État, quand les médias de propagande crient au règlement de compte.

Le récente arrestation d’Aziz Bassolet, fils de l’ancien général Djibril Bassolet, dans une affaire de tentative de déstabilisation de l’État, ont suscité une vague de réactions de la part de certains médias français. Ces derniers crient au règlement de comptes, avançant l’idée que, faute de pouvoir atteindre le père en exil en France, on s’en prendrait injustement au fils. Ce discours, typique des instruments de propagande médiatique, tente de manipuler l’opinion publique en déformant les faits et en occultant les véritables enjeux de sécurité au pays des hommes intègres.

Il est essentiel de rappeler que la famille Bassolet, et en particulier Djibril Bassolet, est historiquement liée à diverses conspirations contre l’État burkinabè. Sous le régime de Blaise Compaoré, Djibril Bassolet a été mêlé à plusieurs tentatives de déstabilisation, notamment après l’insurrection populaire de 2014. Les accusations portées contre Aziz Bassolet ne tombent donc pas du ciel. Son rôle d’intermédiaire entre son père, actuellement réfugié en France, et certains militaires influencés par des forces extérieures, ne fait qu’accentuer les soupçons légitimes autour de cette affaire.

Il est clair que ces médias français, prompts à défendre des personnalités controversées, cherchent à détourner l’attention des faits réels. Leurs tentatives de présenter Aziz Bassolet comme une victime d’un soi-disant « règlement de comptes » relèvent de la désinformation. Ce récit vise à protéger un réseau néocolonial qui, depuis des décennies, n’a cessé de s’immiscer dans la politique interne du Burkina Faso, notamment par des conspirations orchestrées par des acteurs comme Djibril Bassolet.

Le Burkina Faso, sous la direction du Président Ibrahim Traoré, a entrepris des réformes courageuses pour restaurer sa souveraineté et déjouer les plans déstabilisateurs fomentés par des groupes d’intérêts étrangers. Cette arrestation démontre que le pays prend au sérieux les menaces internes et ne tolérera aucune collusion avec ceux qui prennent fait et cause pour l’impérialisme. Les manipulations médiatiques ne doivent pas détourner l’attention de la nécessité de préserver la sécurité et la stabilité du Burkina Faso.

Ainsi, il est crucial que l’opinion publique internationale voie au-delà de la propagande des médias français et comprenne que ces arrestations ne sont pas de simples règlements de comptes, mais des mesures nécessaires pour défendre l’intégrité et la souveraineté de la nation burkinabè.

Amen K.

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