27 juillet 2024

Burkina-Faso: Human Rights Watch, l’ONG connue pour son rôle direct dans la déstabilisation de la Libye, veut reproduire le même scénario au Burkina-Faso

Cette ONG qui prétend être au service de la défense des droits des peuples, n’est rien d’autre qu’une organisation à la solde de la communauté internationale qui a pour seul objectif de déstabiliser les gouvernements africains qui ne servent pas leurs intérêts.

On se souvient, Human Rights Watch avait publié des informations fausses sur la Libye, présentant des charniers, accusant Kadhafi de dictateur et de tuer la population. Conséquence, la France a assassiné le président Kadhafi et déstabilisé le pays qui peine aujourd’hui à se reconstruire depuis cet évènement. C’est ce que cette organisation tente de faire au Burkina-Faso en publiant un rapport infondé sur une prétendue tuerie dans le pays.

Human Rights Watch est encore dans ce jeu trouble qui consiste à publier des rapports bidons dénués de vérité, de manière à donner le champ libre aux Etats-Unis, la France et consort pour mettre le Burkina à feu et à sang, comme ils le projettent depuis longtemps.

Cette ONG a toujours été une organisation complice de l’Union européenne, des Etats Unis, bref de la communauté internationale. Elle a toujours évolué sur la base de fausses informations. C’est le même plan elle exécuté au Rwanda pendant le génocide. Sinon pourquoi, c’est après le génocide que l’implication de la France dans ce massacre organisé a été dévoilé alors que l’ONG était présente dans le pays à ce temps ? La seule réponse plausible est qu’elle servait les intérêts de la France.

Et en Libye, l’ancien président français Nicolas Sarkozy, n’est-il pas aujourd’hui inculpé par la justice française dans cette affaire ayant conduit à l’assassinat du président Kadhafi ? Pourquoi l’ONG n’a-t-elle pas dénoncé l’implication de la France et c’est après ?

La France, le pays des coups bas sur le continent africain devenu persona non grata en Afrique, met les Etats Unis et le Royaume Uni au-devant de son projet de déstabilisation. Et ces deux pays veulent détourner les peuples burkinabè de l’essentiel avec leur déclaration conjointe au sujet des prétendus massacres de civils et de la suspension de médias au Burkina Faso.

Aujourd’hui, l’opinion burkinabè et générale est au courant de ces complots et ils sont dénoncés.

Adjo Massan

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