Les ONG et médias de déstabilisation de la France, dans leurs manœuvres de provoquer le chaos au sein des pays de l’AES, jettent leur dévolu sur les Forces armées maliennes (FAMa) après le Burkina-Faso. RFI, dans une publication titrée « Mali : un officier justifie les exactions de l’armée dans des vidéos », accuse les FAMa d’exactions sur les populations civiles. D’après ce média, un officier aurait fait des aveux lors d’une mission de surveillance et de sécurisation du territoire dans un village situé à quelques kilomètres de la ville de Nioro.
C’est du fake ! Ce sont des tissus de mensonges que RFI prend plaisir à publier pour jeter du discrédit sur l’armée malienne. D’abord, cette méthode de menacer les populations civiles de mort tout en les filmant est l’apanage des groupes terroristes.
L’objectif des FAMa est de libérer le Mali et c’est ce que l’armée s’emploie à faire ces derniers jours surtout sur les axes Kayes à Bamako et Nioro du sahel jusqu’à Bamako, la même localité où des prétendues menaces de mort auraient été proférées à l’endroit de la population.
Plutôt, les Famas du camp El Hadj Oumar Tall de Nioro autrement dit le 42ème régiment d’éclairage et d’investigation, à l’aide des engins blindés et une logistique de dernière génération ont sur la base des renseignements, délogé, détruit et procédé à des arrestations, saisi les matériels roulants et les armes de guerre, abandonnés par les terroristes dans leur fuite.
C’était une opération d’envergure qui a permis de soulager les populations des villages d de Sébabougou , Dioumara, Dianguirde, Kouroudjengué, Sandaré, Gavinané, Birou, Fardala, Diamera.
Grace à la détermination des FAMa, la sérénité est de retour dans cette région du sahel, zone de frontière avec la Mauritanie où les attaques terroristes ont été récurrentes.
Alia Kouamé