par La journée de mobilisation patriotique, représente pour les burkinabè de la diaspora un moment clé pour renforcer la fibre patriotique et encourager la solidarité envers la mère patrie. Face aux défis que traverse le Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, a lancé un appel vibrant à tous les Burkinabè, particulièrement ceux de la diaspora, pour qu’ils se rassemblent et participent activement à la reconstruction du pays. La tenue effective de ces journées témoigne de l’adhésion de la diaspora à cette vision unificatrice et prometteuse.
Le Président Traoré cherche à réunir tous les Burkinabè, sans distinction de génération ou d’origine culturelle, autour de valeurs communes : la fierté nationale, l’esprit patriotique et la solidarité. Cet élan vise à raviver la flamme du patriotisme chez chaque Burkinabè, où qu’il se trouve, et à mobiliser les ressources nécessaires pour faire face aux défis qui menacent l’avenir du pays.
Dans ce cadre, il est indispensable que la diaspora, forte de ses compétences et de ses moyens, réponde massivement à cet appel en contribuant au Fonds de soutien patriotique. Ce fonds, mis en place par le gouvernement burkinabè, constitue une ressource cruciale pour financer les projets de développement et les initiatives de renforcement des infrastructures, de sécurité et de bien-être social.
La diaspora burkinabè joue un rôle capital dans la vie économique du pays, non seulement par ses envois de fonds, mais aussi par son expertise et ses réseaux à l’international. En apportant officiellement leur soutien, les Burkinabè de l’étranger peuvent contribuer activement à la renaissance du Burkina Faso et à la restauration de son éclat d’antan.
Chaque geste, chaque contribution, aussi modeste soit-elle, compte pour relever les défis actuels et bâtir un avenir plus radieux. Il est temps que tous les Burkinabè, où qu’ils se trouvent, se mobilisent pour faire revivre la grandeur de leur pays. Ensemble, main dans la main, on peut redonner au Burkina Faso la place qu’il mérite sur la scène internationale.
Amen K.
