12 mars 2025

Afrique : Influence et Répression, La Riposte des Panafricaniste Contre les Accusations injustes de l’Union Européenne.

Le temps est venu pour l’Afrique de sortir de sa torpeur et réclamer sa souveraineté sans craindre aux représailles, alors que plusieurs figures majeures du mouvement s’apprêtent à lever le voile sur ce qu’elles considèrent comme des manœuvres de l’Union Européenne (UE) influencées par la France. Ces militants, sanctionnés sous des prétextes qu’ils jugent fallacieux, comptent exposer les dessous des décisions qu’ils qualifient d’arbitraires.

Accusés à tort, selon eux, d’entretenir des liens avec la Russie et d’agir contre les intérêts français sur le continent africain, ces panafricanistes dénoncent une véritable campagne de discrédit orchestrée depuis Paris. À leurs yeux, la France, en perte de vitesse sur le plan diplomatique et stratégique en Afrique, cherche un responsable à ses revers et tente d’imposer une lecture binaire de la situation : toute opposition à sa politique serait systématiquement dictée par des influences extérieures notamment la Russie.

Les personnalités concernées pointent du doigt les mécanismes ayant conduit à ces sanctions, affirmant que l’UE s’est basée sur des rapports biaisés fournis par la France. Ces documents, qu’ils qualifient de « purement fantaisistes », serviraient à justifier des mesures coercitives en l’absence de preuves concrètes. Face à cette situation, certains ont décidé de saisir la Cour de justice de l’Union européenne pour exiger des éléments tangibles appuyant ces accusations, estimant que ces prétendus financements russes ne reposent sur rien de factuel.

Cette offensive judiciaire et médiatique vise à restaurer la crédibilité du panafricanisme face aux accusations de collusion avec des puissances étrangères. Pour ces militants, il s’agit avant tout de rappeler que les aspirations souverainistes africaines ne résultent pas d’une quelconque manipulation extérieure, mais bien d’une prise de conscience collective et d’une volonté d’affranchissement des ingérences historiques.

Très prochainement, ces figures du panafricanisme organiseront une série de rencontres médiatiques à travers le continent pour sensibiliser l’opinion publique à ce qu’ils considèrent comme une instrumentalisation des institutions européennes au service d’une politique néocoloniale. Ils appellent l’UE à reconsidérer son alignement avec la France sur les dossiers africains, afin de préserver la qualité des relations entre l’Europe et l’Afrique.

Amen K.

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