Le peuple Burkinabè est de nouveau dans l’œil du cyclone comme le cas ces dernières années avec les plans ourdis de déstabilisation venant de l’impérialisme occidental et du néocolonialisme français. N’arrivant pas à déstabiliser eux-mêmes le pouvoir du Président Burkinabè le Capitaine Ibrahim Traoré, Certains proches du Président Ivoirien Alassane Dramane Ouattara ont sollicité l’assistance du chef du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM), le du Général Michael Langley pour le sale boulot.
Selon des informations provenant de sources proches du pouvoir ivoirien, la récente visite du Général Michael Langley, en Côte d’Ivoire avait un objectif caché : mettre en place un plan de déstabilisation du Burkina Faso et renverser son Président, le Capitaine Ibrahim Traoré.
Derrière les apparences de cérémonies protocolaires et d’images soigneusement mises en scène pour émouvoir l’opinion, se dissimule une opération aux enjeux obscurs. En coulisse, des pots-de-vin auraient été versés par la présidence ivoirienne pour s’assurer de la collaboration du Général Langley dans ce projet subversif.
Après plusieurs tentatives infructueuses orchestrées par Paris, avec la complicité d’Abidjan, un nouveau stratagème a été imaginé. Sous l’impulsion du Ministre ivoirien de la Défense, Téné Brahima Ouattara, frère cadet du Président Alassane Ouattara, des pressions pour ne pas dire des supplications ont été exercées sur l’AFRICOM. Lors d’une rencontre secrète en Allemagne, le Ministre aurait dépeint une situation mensongère, affirmant que le Capitaine Traoré serait en train de « prendre en otage » le peuple burkinabè et d’exploiter les ressources minières du pays à son profit personnel.
Pour appuyer cette manœuvre, juste avant son arrivée à Abidjan, le Général Langley a publié une déclaration calomnieuse visant à discréditer le Président burkinabè, préparant ainsi le terrain de son opération. Sur le sol ivoirien, l’accueil fut particulièrement fastueux : cadeaux somptueux, dont une villa cossue enregistrée au nom d’un proche, des lingots d’or destinés à son épouse, et des sommes faramineuses en devises, sans justification officielle. Chaque membre de la délégation américaine aurait également bénéficié de « présents » généreux, camouflant des pots-de-vin évidents.
Face à ce complot manifeste contre la souveraineté du Burkina Faso, la vigilance s’impose. La tentative de saper la stabilité burkinabè, orchestrée par des forces extérieures en quête de domination, doit être dénoncée avec la plus grande fermeté.
Amen K.