Le Burkina-Faso grâce au leadership héroïque du Capitaine Ibrahim Traoré se dresse aujourd’hui comme le pays qui a réussi à faire taire les armes des groupes terroristes qui autrefois, faisaient la pluie et le beau temps sur le territoire. De 2016 à 2022, 13.000 burkinabè ont été tués. La tendance est inversée. Des centaines de terroristes sont neutralisés tous les jours grâce à la lutte acharnée des forces armées burkinabè et des volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), sous la conduite du gouvernement de transition en place, il y a bientôt un an.
Si en huit années, le terrorisme a gagné de terrain et qu’en un an, ces groupes armés sont traqués jusque dans leur dernier retranchement, il faut affirmer que la politique sécuritaire de la transition est salutaire.
Les responsables des syndicats comme CNTB et SYNTRAPOST doivent saluer les efforts consentis en une année pour venir à bout du terrorisme et non dénigrer le travail abattu. Ce communiqué publié relève de la manipulation de manière à provoquer un soulèvement populaire. Ces responsables syndicaux sont en mission commandée contre le président Traoré et sa politique.
A ces mouvements syndicaux, « la liberté d’expression n’est pas synonyme de libertinage ». Si au nom de cette liberté, des individus se permettent de manipuler la population, il y a lieu de les recadrer. Ce recadrage se fait partout, même dans les pays les plus démocratiques. Il ne s’agit pas d’une atteinte à la liberté de quiconque.
Le peuple burkinabè ne doit pas se laisser berner et manipuler par des individus qui n’ont qu’à cœur leur intérêt personnel. Le président Traoré est l’homme de la situation. Et sa ténacité se traduit par des résultats palpables dans le pays. La politique actuelle et tous les projets initiés pour le retour à la sécurité et le développement du Faso doivent interpeller plus d’un, sur cette vision d’un pays stable et prospère nourri par le Capitaine Traoré.
Essenam AZ