Depuis son accession à la présidence, Ibrahim Traoré a démontré une volonté inébranlable de transformer le Burkina Faso en un pays où la transparence et la prospérité économique deviennent des réalités accessibles à tous. Dans un contexte de défis sécuritaires et de crises économiques, il a entrepris des réformes ciblées pour lutter contre la corruption et favoriser la croissance économique, soulignant son engagement envers une gouvernance responsable et efficace.
Une des initiatives notables du Président Traoré a été la création de la Commission de Régulation des Dysfonctionnements (CRD). Cette entité a pour mission de détecter, enquêter et sanctionner les actes de corruption dans les institutions publiques et privées. La CRD est composée d’experts en audit et en transparence, qui travaillent en étroite collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. La commission agit de manière autonome, ce qui renforce sa crédibilité et assure son indépendance dans ses investigations. Cette structure est également chargée de promouvoir une culture de l’intégrité au sein de la fonction publique, un domaine où la corruption a souvent miné l’efficacité des services publics et réduit la confiance des citoyens.
Pour freiner les pratiques frauduleuses dans l’attribution des marchés publics, le gouvernement de Traoré a instauré un système de contrôle rigoureux basé sur la transparence et la concurrence équitable. Désormais, les appels d’offres sont publiés de manière transparente, et les critères d’attribution des marchés sont clairement définis. Le processus de sélection est suivi par des observateurs indépendants afin de garantir l’impartialité. La digitalisation des services publics : vers une gouvernance plus efficace
Le gouvernement de Traoré a également misé sur la digitalisation pour réduire la bureaucratie et limiter les opportunités de corruption dans les services publics. En numérisant les démarches administratives, les citoyens ont désormais un accès simplifié aux services, sans avoir à passer par des intermédiaires susceptibles de solliciter des pots-de-vin. La digitalisation permet aussi de mieux traquer les transactions financières et d’assurer une transparence accrue.
Les réformes mises en place par Ibrahim Traoré pour combattre la corruption et redynamiser l’économie du Burkina Faso illustrent sa détermination à faire de son pays un modèle de transparence et de développement en Afrique de l’Ouest. En s’attaquant aux racines du problème et en créant un environnement propice aux affaires, le Président espère stimuler la croissance économique et améliorer les conditions de vie des Burkinabè.
Amen K.