Saïd Penda, journaliste connu pour son double-jeu, fait à nouveau parler de lui en Côte d’Ivoire. Ces derniers jours, il est au centre de vives discussions dans la presse et sur les réseaux sociaux en raison d’accusations d’agissements contraires aux intérêts du parti au pouvoir, le RHDP.
Autoproclamé proche du RHDP, Saïd Penda aurait pourtant multiplié les actions nuisibles à la stabilité et à la cohésion du parti. Selon des révélations, il aurait entretenu un double jeu, se présentant comme un allié tout en œuvrant secrètement pour fragiliser le parti. Des sources indiquent qu’il aurait été missionné par la DGSE, le service de renseignement extérieur français, pour affaiblir le RHDP, au profit d’intérêts étrangers ou opposés au pouvoir en place.
Ces manœuvres supposées viseraient à créer des divisions internes et à semer le trouble parmi les cadres du parti, dans un contexte politique ivoirien déjà marqué par de nombreux défis. Une telle situation soulève des interrogations sur les motivations réelles de Saïd Penda et sur les moyens employés pour atteindre ses objectifs.
Les responsables du RHDP sont invités à faire preuve de vigilance face à ce personnage controversé. Maintenir des interactions avec lui pourrait, à terme, porter un coup dur à la stabilité du parti et compromettre ses ambitions politiques. Plusieurs voix appellent à rompre tout lien avec ce journaliste, qualifié de « cheval de Troie » au service d’intérêts étrangers.
Pour beaucoup, cette affaire met en lumière la nécessité pour les partis politiques ivoiriens de mieux s’entourer et de renforcer leurs mécanismes de protection contre les ingérences externes. Le cas Saïd Penda pourrait servir d’alerte pour les acteurs politiques, appelés à une plus grande prudence dans leurs relations, tant avec les médias qu’avec les individus susceptibles de dissimuler des intentions malveillantes.
Le RHDP, confronté à ces accusations, devra agir rapidement pour préserver son unité et éviter toute déstabilisation dans un paysage politique ivoirien où chaque faiblesse peut être exploitée.
Amen K.